Aujourd'hui est paru en gargote gasconne une annonce du Duc de Bretagne.Cette dite annonce exprimait les raisons de l'attaque bretonne en territoire Gascon!
Peuple de Gascogne,
Des navires de guerre bretons sont venus jusque dans le port de Mimizan, et la lumière sur cet événement doit être faite.
La flotte bretonne est venue en Gascogne dans le but de couler des pirates, menteurs, voleurs et sans honneur. Ces quelques personnes se sont vu offrir l'asile en vos terres et vos ports par votre duchesse. Ils étaient en fuite, chassés successivement de Bretagne, du Berry puis du Poitou, et ont été ravis de trouver un nouveau duché en lequel ils pourraient sévir à nouveau et faire ce qu'ils font le mieux, semer la discorde.
L'accueil qui leur fut fait est d'autant plus étonnant que ces pirates ont nui à votre duché par le passé, étant étroitement liés à la prise de Mont de Marsan par l'Hydre il y a un an et demi. Certains de vos dirigeants auraient-ils la mémoire si courte qu'ils vous font sciemment l'affront de s'allier à ceux qui hier vous ruinèrent?
En conséquence, des navires bretons ont mené une expédition dans le seul but de couler les bateaux de ces pirates, afin d'assurer la sécurité des mers. Qui souhaiterait voir se reproduire la prise de ville pour le simple plaisir de nuire à autrui, comme à Vannes ouBrest, ou l'attaque sans raison d'un navire voguant paisiblement, comme celui de l'Amiral de Guyenne qui s'est tiré miraculeusement d'un combat inégal dans lequel il se trouva obligé d'affronter seul les navires de ceux que votre duchesse héberge et protège?
L'opération maritime actuelle trouve donc toute sa justification dans la lutte que mènent les navires bretons contre la piraterie. Aujourd'hui ceux qui sont visés sont protégés en Gascogne, le tolérerez-vous? La volonté de nouer des relations cordiales entre la Bretagne et la Gascogne était réelle, jusqu'à cet incident. Par le passé les navirvolé une cogue dans votre port, profitant pour cela de sa qualité de chef de port gascon. Un commerce fructueux pour votre duché avait été mis en place, à plusieurs reprises. Un forum de concertation et de coopération maritime devait être monté. Des projets d'avenir étaient en gestation, ils sont aujourd'hui inconcevables dans l'état actuel des choses.
On vous annonce d'ailleurs la volonté bretonne de faire tomber Mimizan, Mont de Marsan. 120 mercenaires bretons seraient en route pour perpétrer leur forfait sur vos terres. Ce n'est que pure fantaisie, la meilleure preuve en est qu'à ce jour aucune armée n'a débarqué chez vous, les Bretons n'ont pas pris de ville, et le seul navire à avoir coulé est celui de l'un des pirates. Les Gascons n'ont pas à craindre la Bretagne.
La Bretagne a une parole à laquelle elle se tient, et ces mots ne seront pas contredits par des actes auxquels elle serait mêlée en quoi que ce soit s'ils survenaient. La Bretagne renouvelle ses propositions, déjà formulée auprès de votre duchesse, à savoir une entraide et une collaboration commerciale, maritime, et de lutte contre les noires organisations qui sévissent sur vos terres.
Cependant la Bretagne ne peut prendre de décision à votre place, il appartient à vos dirigeants de se positionner. Contribuez à leur faire entendre la voix de la raison, et nous pourrons construire ensemble un avenir meilleur, serein et débarrassé d'impuretés qui pourraient être balayées d'un revers de main si vos dirigeants prenaient enfin leurs responsabilités.
E. Roazhon,
d'ar Sadorn 18 a viz Mazheven 1459
Marick de Montfort Laval, Duc de Bretagne
La bretagne dit vouloir couler des bateaux déclares pirates hors les informations filtrent et la gascogne ne sait que faire. Un bateau civil gascon a éte séverement canoné par les navires bretons. La gascogne est mise à mal et ne sait comment réagir. Le duché nous cache-t-il des choses? La gascogne s'enfonce-t-elle définitivement dans le trou béant qu'elle laisse petit à petit au fur et à mesure que les conseils ducaux passent? Comment devons-nous réagir? Les élections ducales se profilent. D'ici 13 jours la Gascogne aura de nouveaux dirigeants. Entre un parti expérimenté,motivée mais qui a des idées qui ne change pas et qui n'apporte pas l'élan nécaissaire a la Gascogne et un parti nouveau visant à creuser le déficit gascon... La gascogne doit faire des choix! Elle le fera par les urnes!
dimanche 19 juin 2011
mercredi 1 juin 2011
Entretien avec la Duchesse gasconne
La Gasconha vient de passer la moitié de son mandat ducal. À cette occasion, la Gazette de Gascogne est allée à la rencontre de la Duchessa, Kassandra Von Wittelsbach, afin de lui poser quelques questions.
GdG : Pour commencer, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
Kassandra Von Wittelsbach : Kassandra Von Wittelsbach ayant grandi en Béarn avec son oncle et sa tante. À leur mort j'ai parcouru les chemins à la recherche du reste de ma famille. Je ne suis pas allée très loin, ils étaient tous en Gascogne... Mon frère m'a très vite initiée à la politique et à la justice grâce à Saint Arnvald. Je me suis mise au travail pour qu'ils soient fiers de moi.
GdG : Qu'est-ce qui vous a incité à estre teste de liste lors des dernières élections ducales ?
KVW : J'ai estimé avoir muri pour franchir le Cap et surtout je voulais voir si j'avais toujours cette hargne qui me motive pour la Gascogne.
GdG : Pourquoi avoir postulé au trosne gascon ?
KVW : Parce que je ne connais que celui-là. Plus sérieusement, je désirais apprendre aux jeunes que même lorsqu'on vient de partis différents on peut tous s'entendre et apprendre des anciens. Chose que l'on fait régulièrement avec Satolas ou bien Nil.
GdG : Aviez-vous peur des a priori du peuple en devenant Duchessa, sachant que vous tenez aussi un poste de diaconesse au sein de l'Eglise gasconne ?
KVW : Des a priori j'en ai toujours connu à mon égard alors que je sois Diaconesse ou pas ça ne change pas ma vie. Et non je n'ai pas peur. Les a priori en question me donne la force de me battre pour la Gascogne.
GdG : Nous sommes à mi-mandat, que pensez-vous du travail effectué par vostre conseil ?
KVW : Je dirais que, si certains des conseillers étaient davantage présents, nous aurions pu traiter davantage de sujets. Or à ce jour, il y a des passifs et ça démoralise quelque peu les actifs. Sinon en général, beaucoup de tâches ont fait grandir la Gascogne, comme dans la diplomatie ou bien la Prévôté, et même l'Ost les disparus.
GdG: Il y a eu quelques bouleversements au sein du conseil durant cette première partie de mandat, avec entre autres les démissions de Flavien de Rochechard et de Marik, qu'avez-vous à dire à ce sujet ?
KVW : Je n'ai pas compris la démission de Marik Mato. Il nous avait signalé qu'il souffrait un peu et que le médicastre lui avait conseillé de prendre un peu de repos. Lorsqu'il est revenu parmi nous en bonne santé, il a repris ses fonctions de Connétable au sein du fort. Malheureusement il a quitté les lieux sans préavis.
Pour ce qui est de Flavien de Rochechard, ce jeune homme a donné sa démission de Chancelier dès ma nomination au trône. Il a voulu par la suite traiter un sujet qui lui tenait à cœur ainsi qu'à une partie de notre Conseil. Le Cas de Namaycush, Vicomte de...vous m'excuserez mais je ne retiens pas tous les noms. Tous les deux nous nous sommes heurtés à des soucis de communication. Il voulait le poursuivre et moi je n'arrêtais pas de dire qu'il était intouchable vu qu'il faisait pénitence en étant en croisade, sans compter qu'il porte les couleurs de notre Reyne et que son armée se nomme maintenant la Beatriz. Ceci ne lui a pas plus, il a pensé que je protégeais Le Vicomte. Or lorsqu'il y a prescription on ne peut rien faire, même en étant Duchesse de Gascogne. J'ai très mal pris la démission de Flavien, je regrette ce qu'il s'est passé car ce jeune homme a beaucoup de potentiel.
GdG : L'entrée des nouveaux conseillers, Damiàn de Castel Vilar et Aliyan, s'est-elle bien déroulée ?
KVW : Nous les avons accueillis à bras ouverts. Pour Damian c'était plus facile car la plupart d'entre nous avions déjàtravaillé à ses cotés.
Pour ce qui est de la Demoiselle Aliyan c'est un peu plus difficile pour elle. Elle a découvert les longs couloirs du Conseil. Malheureusement La petite dernière du groupe semble un peu passive.
GdG : Vos décisions de ce mi-mandat n'ont pas toujours esté bien reçues par certains Gascons, comme le retrait de la seigneurie de Bonloc à mossu Zigom de Sélènes ou la fermeture de la mine de pierre. Regrettez-vous ces décisions ?
KVW : Je ne regrette aucun choix.
GdG : Porter la couronne ducale est-il pesant ?
KVW : très pesant en effet. C'est que cela pèse pas mal sur la tête tout cet or... Trêve de plaisanterie. Il n'est pas évident de prendre des décisions dans un Duché qui a connu de sombres épisodes. On ne sait jamais si l'on prend une bonne ou une mauvaise décision, seul le temps peut nous le confirmer. La couronne ducale pèse moins lorsqu'on est bien conseillé et que les feudataires sont là au cas où pour nous remettre dans le droit chemin s'il y a lieu.
GdG : Amour, gloire ou beauté ?
KVW : les trois voyons ! Honnêtement aucun des trois : je dirais PAIX.
GdG : un message à transmettre aux Gascons ?
KVW : Sans vous, la Gascogne ne se sortira jamais de cette torpeur.
GdG : Pour commencer, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
Kassandra Von Wittelsbach : Kassandra Von Wittelsbach ayant grandi en Béarn avec son oncle et sa tante. À leur mort j'ai parcouru les chemins à la recherche du reste de ma famille. Je ne suis pas allée très loin, ils étaient tous en Gascogne... Mon frère m'a très vite initiée à la politique et à la justice grâce à Saint Arnvald. Je me suis mise au travail pour qu'ils soient fiers de moi.
GdG : Qu'est-ce qui vous a incité à estre teste de liste lors des dernières élections ducales ?
KVW : J'ai estimé avoir muri pour franchir le Cap et surtout je voulais voir si j'avais toujours cette hargne qui me motive pour la Gascogne.
GdG : Pourquoi avoir postulé au trosne gascon ?
KVW : Parce que je ne connais que celui-là. Plus sérieusement, je désirais apprendre aux jeunes que même lorsqu'on vient de partis différents on peut tous s'entendre et apprendre des anciens. Chose que l'on fait régulièrement avec Satolas ou bien Nil.
GdG : Aviez-vous peur des a priori du peuple en devenant Duchessa, sachant que vous tenez aussi un poste de diaconesse au sein de l'Eglise gasconne ?
KVW : Des a priori j'en ai toujours connu à mon égard alors que je sois Diaconesse ou pas ça ne change pas ma vie. Et non je n'ai pas peur. Les a priori en question me donne la force de me battre pour la Gascogne.
GdG : Nous sommes à mi-mandat, que pensez-vous du travail effectué par vostre conseil ?
KVW : Je dirais que, si certains des conseillers étaient davantage présents, nous aurions pu traiter davantage de sujets. Or à ce jour, il y a des passifs et ça démoralise quelque peu les actifs. Sinon en général, beaucoup de tâches ont fait grandir la Gascogne, comme dans la diplomatie ou bien la Prévôté, et même l'Ost les disparus.
GdG: Il y a eu quelques bouleversements au sein du conseil durant cette première partie de mandat, avec entre autres les démissions de Flavien de Rochechard et de Marik, qu'avez-vous à dire à ce sujet ?
KVW : Je n'ai pas compris la démission de Marik Mato. Il nous avait signalé qu'il souffrait un peu et que le médicastre lui avait conseillé de prendre un peu de repos. Lorsqu'il est revenu parmi nous en bonne santé, il a repris ses fonctions de Connétable au sein du fort. Malheureusement il a quitté les lieux sans préavis.
Pour ce qui est de Flavien de Rochechard, ce jeune homme a donné sa démission de Chancelier dès ma nomination au trône. Il a voulu par la suite traiter un sujet qui lui tenait à cœur ainsi qu'à une partie de notre Conseil. Le Cas de Namaycush, Vicomte de...vous m'excuserez mais je ne retiens pas tous les noms. Tous les deux nous nous sommes heurtés à des soucis de communication. Il voulait le poursuivre et moi je n'arrêtais pas de dire qu'il était intouchable vu qu'il faisait pénitence en étant en croisade, sans compter qu'il porte les couleurs de notre Reyne et que son armée se nomme maintenant la Beatriz. Ceci ne lui a pas plus, il a pensé que je protégeais Le Vicomte. Or lorsqu'il y a prescription on ne peut rien faire, même en étant Duchesse de Gascogne. J'ai très mal pris la démission de Flavien, je regrette ce qu'il s'est passé car ce jeune homme a beaucoup de potentiel.
GdG : L'entrée des nouveaux conseillers, Damiàn de Castel Vilar et Aliyan, s'est-elle bien déroulée ?
KVW : Nous les avons accueillis à bras ouverts. Pour Damian c'était plus facile car la plupart d'entre nous avions déjàtravaillé à ses cotés.
Pour ce qui est de la Demoiselle Aliyan c'est un peu plus difficile pour elle. Elle a découvert les longs couloirs du Conseil. Malheureusement La petite dernière du groupe semble un peu passive.
GdG : Vos décisions de ce mi-mandat n'ont pas toujours esté bien reçues par certains Gascons, comme le retrait de la seigneurie de Bonloc à mossu Zigom de Sélènes ou la fermeture de la mine de pierre. Regrettez-vous ces décisions ?
KVW : Je ne regrette aucun choix.
GdG : Porter la couronne ducale est-il pesant ?
KVW : très pesant en effet. C'est que cela pèse pas mal sur la tête tout cet or... Trêve de plaisanterie. Il n'est pas évident de prendre des décisions dans un Duché qui a connu de sombres épisodes. On ne sait jamais si l'on prend une bonne ou une mauvaise décision, seul le temps peut nous le confirmer. La couronne ducale pèse moins lorsqu'on est bien conseillé et que les feudataires sont là au cas où pour nous remettre dans le droit chemin s'il y a lieu.
GdG : Amour, gloire ou beauté ?
KVW : les trois voyons ! Honnêtement aucun des trois : je dirais PAIX.
GdG : un message à transmettre aux Gascons ?
KVW : Sans vous, la Gascogne ne se sortira jamais de cette torpeur.
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